Qui sommes nous?

L'association Bien Vivre à La Salvetat a modifié ses statuts en assemblée générale. Elle reste une association type loi 1901 et sa vocation est précisée dans l'article 2 de ses statuts :
"Cette association est laïque.
elle a pour buts :
1- de rassembler des salvetains soucieux du "bien vivre" dans notre commune,
2- de donner la parole aux Salvetains pour être acteurs dans les décisions du quotidien,
3- de promouvoir la culture par le biais de réunions au cours desquelles seront abordés les problèmes soulevés par l'environnement, par les problèmes du quotidien, par l'accès à la connaissance,
4-d'être un élément moteur de la vie publique locale."


vendredi 14 mars 2008

Mise au point

Au vu des insinuations et mensonges dont je fais l’objet, je me dois de rétablir certaines vérités.

Avec mon équipe, nous sommes sans étiquette et si le PCF a appelé à voter pour notre liste c’est certainement parce que nous sommes la seule liste réellement de gauche de ces municipales.

En ce qui concerne mon histoire politique à la Salvetat, elle prend un tournant en 1999, suite à l’élection de l’équipe de M. Garel dont je faisais partie. Cette élection a eu lieu après la dissolution du conseil municipal en place pour les deux ans et demi restant. Durant cette période, j'ai eu la responsabilité du CCAS en tant qu'adjoint aux affaires sociales.
En 2001, je deviens élue de l’opposition avec la liste « changeons ensemble » alors que M. Dauvel est élu maire avec 24% des voix seulement (en s’alliant avec ses adversaires d’autrefois). Il me propose alors de garder mon poste d’adjoint en rejoignant son équipe, ce que je refuse.
Plus tard, M. Dauvel annule une procédure en appel engagée par la municipalité en place avant 1999, à la suite d’un procès intenté par une employée de la mairie. C’est après avoir dénoncé sa décision qu’il m’a traduite en correctionnelle, ainsi que Mme Jouandanne. Procédure judiciaire à notre encontre qui sera par la suite annulée par la Cour d’Appel de Toulouse.

A la suite de ces événements M. Dauvel adopte à mon encontre une attitude agressive lors des conseils municipaux et interprète à sa manière la décision de la Cour d’Appel de Toulouse.
N'ayant aucun moyen de faire entendre sereinement mes positions sur les décisions du conseil municipal, je décide d'appliquer la politique dite de la chaise vide et m’en explique devant la population.

Cela ne m’empêche pas de m’impliquer dans la vie de la commune : voir les « tirés à part » et nos prises de position, ainsi que le grand mouvement de défense de la poste (3000 signatures). M. Dauvel prend fait et cause pour la direction...

En conclusion, il est erroné de prétendre que j'ai dirigé la commune, et que je n'ai pas joué mon rôle d'élue de l'opposition ces 7 dernières années.

Aujourd’hui c’est portée par le mécontentement exprimé par beaucoup de salvetains que je me présente à nouveau.
Avec mon groupe composé de citoyens de la société civile, nous menons une bataille pour
défendre notre idéal de commune et de démocratie.

Eliane Andrau

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